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Don d'organes - L'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal se démarque en Amérique du Nord
A l'attention du directeur de l'information et des rédacteurs de la chronique santé:
Renseignements: Christine Daniel, Coordonnatrice des communications, (514) 338-3512, christine.daniel.hsc@ssss.gouv.qc.ca
Source : CNW Telbec.
"Lorsque les intervenants de l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal accompagnent les familles d'un proche qui pourrait éventuellement faire don de ses organes, cela se passe toujours dans le contexte triste et dramatique de la perte d'un être cher. Le travail remarquable de cette équipe dans le plus grand respect du choix des personnes a été souligné et honoré à maintes reprises depuis plus d'un an.
"Nous sommes fiers de l'approche développée à Sacré-Coeur, nous sommes touchés par la générosité des Québécois et nous sommes heureux de contribuer à sauver des vies" précisait le Dr Pierre Marsolais, intensiviste et président du comité sur les dons d'organes de l'HSCM lors d'une conférence de presse ce matin.
Des progrès remarquables
En un an, les progrès réalisés par l'équipe du don d'organes de l'HSCM sont impressionnants. De 2003 à 2004, l'Hôpital est ainsi passé d'un taux d'identification des donneurs potentiels de 53% à 92%. En 2004, ces donneurs ont contribué à sauver la vie et améliorer la santé de 55 personnes. Ce succès est attribuable à plusieurs facteurs, dont l'embauche d'infirmières spécialisées et dédiées à cette clientèle ainsi que la mise en place d'une équipe multidisciplinaire formée de médecins, d'infirmières, d'inhalothérapeutes, d'un aumônier et d'un représentant de Québec-Transplant.
Un rayonnement en Amérique du Nord
Depuis un an, l'équipe du don d'organes de l'HSCM ne cesse d'accumuler les honneurs. En septembre 2004, le Organ Donation Breakthrough Collaborative,un organisme américain qui fait la promotion du don d'organes, soulignait dans son congrès de San Diego, la performance de l'HSCM parmi plusieurs hôpitaux et organismes américains.
En janvier 2005, le Conseil canadien d'agrément des services de santé (CCASS) accordait une mention spéciale aux bonnes pratiques implantées par l'équipe du don d'organes de l'HSCM en mettant en relief l'innovation et la créativité de cette équipe.
En mai 2005, à Pittsburg, le Organ Donation Breakthrough Collaborative décernait une mention d'honneur à deux centres hospitaliers québécois : l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal et l'Hôpital de Chicoutimi, en collaboration avec Québec-Transplant. Ce prix est remis aux organisations qui se démarquent pour leur taux remarquable de donneurs potentiels qui complètent le processus du don d'organes.
Les Québécois favorables au don d'organes
Ces honneurs reviennent bien sûr notamment au travail de Québec-Transplant et de l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal mais aussi à la population du Québec. Un sondage réalisé par Léger Marketing en 2004 indique que 82% des Québécois sont favorables au don d'organes. Cependant, 37% mentionnent ne pas avoir pris de disposition pour faire connaître leur choix. Si les proches ne connaissent pas la volonté de la personne relativement au don d'organes, il est possible que ceux-ci répondent négativement lorsque cette option leur sera proposée.
Enfin, précisons que seulement 13% de la population refuserait de donner leurs organes. Sur ce nombre, 76% accepterait tout de même une transplantation d'un rein, par exemple, s'ils en avaient besoin...
Au Québec : 900 personnes attendent un organe
En 2004, 872 personnes étaient en attente d'un organe au Québec. Sur ce nombre, la très grande majorité (72%) ont besoin d'un rein, 12% un foie, 5% des poumons, 5% une transplantation rein-pancréas, 4% un coeur et 2% un pancréas ou une transplantation coeur-poumons. En moyenne, chaque année, 40 à 50 personnes décèdent en attente d'un organe.
Pour l'ensemble du Canada, on prévoit que d'ici les quatre prochaines décennies, les besoins pourraient augmenter de 221%, alors que le nombre d'organes disponibles n'augmenteraient que de 12%.
Un greffé reconnaissant
"Je dois la vie à un donneur d'organes. Sans ce geste de générosité, je n'aurais pas survécu. Aujourd'hui, c'est avec plaisir que je participe à des conférences comme celles-ci pour témoigner de mon expérience et ainsi sensibiliser encore davantage les gens à l'importance capitale du don d'organes".
Monsieur Jean Gravel, ingénieur de 40 ans et père de trois enfants a été terrassé à 37 ans par une myocardie virale fulgurante qui lui a littéralement détruit le coeur. Branché à un coeur mécanique, M. Gravel n'a attendu que deux semaines avant de recevoir un nouveau coeur. Aujourd'hui, il n'hésite pas à donner de son temps, bénévolement, pour démontrer l'importance de faire don de ses organes.
Maintenir une bonne performance
Pour nous permettre de sauver encore plus de vies avec les dons d'organes, deux conditions sont nécessaires : il faut encourager les gens à signer leur carte d'assurance maladie et il faut aussi informer nos proches de notre volonté de faire don de nos organes si cette option est offerte.
L'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal est un centre de soins généraux, spécialisés et ultraspécialisés, d'enseignement et de recherche, affilié à l'Université de Montréal. Il dessert principalement la population du Nord de Montréal, de même que celle de Laval et des Laurentides. Centre tertiaire de traumatologie, l'HSCM est également reconnu pour son expertise en santé respiratoire, en maladie cardiovasculaire, en orthopédie et en santé mentale.
Québec-Transplant est l'organisme québécois responsable de la promotion du don d'organes. Il coordonne le processus de prélèvement d'organes et assure l'attribution et la distribution des organes selon des protocoles et normes reconnus."
Renseignements: Christine Daniel, Coordonnatrice des communications, (514) 338-3512, christine.daniel.hsc@ssss.gouv.qc.ca
Source : CNW Telbec.
Bioéthique : le Lexique des termes ambigus
"Hier, mercredi 1er juin, le Conseil pontifical de la Famille a présenté à la presse le 'Lexique des termes ambigus et controversés sur la famille, la vie et les questions éthiques'*. Ce Lexique veut remédier à une 'manipulation du langage' présente dans les grands débats de société. Préfacé par le cardinal A. Lopez Trujillo, il réunit les contributions de 72 spécialistes, de différentes nationalités, parmi lesquels figurent : Mgr André Vingt-Trois, archevêque de Paris, Mgr Jean-Pierre Ricard, président de la Conférence des évêques de France, Mgr Tony Anatrella, psychanaliste, Mgr Schooyans, Xavier Lacroix, Jean-Marie Le Méné, G.F. Dumont, J.-M. Meyer, etc.
Mgr Vingt Trois présente l'ouvrage comme une passerelle entre l'Église et la société. Il ne s'agit pas pour l'Église de défendre une morale confessionnelle mais d'éclairer l'intelligence et la raison en vue d'un dialogue tourné vers la vérité.
Le 'maquillage des mots' dans les débats de société est utilisé pour travestir la vérité. N'est ce pas plus facile de pratiquer une 'réduction embryonnaire' qu'un avortement, d'avoir une 'aventure extra conjugale' qu'être adultère, d'éliminer un 'zygote' ou un 'amas cellulaire' plutôt qu'un embryon... On fait basculer l'imaginaire des citoyens sans qu'ils s'en rendent compte...Démaquiller les mots c'est aider la réflexion juste et objective.
Le projet qui a donné naissance au Lexique remonte à la Conférence Internationale du Caire sur la population et le développement (1994) organisée par les Nations Unies. Mgr Jean-Pierre Ricard a expliqué que 'certains des participants à cette Conférence s’aperçurent (...) qu'on utilisait, un langage curieux, presque codé, dans lequel certaines expressions apparemment anodines, mais en fait ambiguës ou à double sens, revenaient régulièrement et pouvaient donner le change sur les véritables intentions des organisateurs de la Conférence. Ces mêmes participants s’aperçurent ainsi que cette manipulation du langage n’était pas propre à la Conférence du Caire, mais semblait être devenue une habitude dans ce secteur particulier de l’ONU. Conscients de ce que des personnes non averties pourraient se laisser prendre à ce jeu sémantique dans d’autres réunions internationales, et voter, sans s’en rendre compte, en faveur de motions opposées à leurs convictions, ces délégués demandèrent alors au Conseil pontifical pour la famille, de publier une sorte de lexique des expressions ambiguës ou à double sens utilisées.' Ce Lexique s’adresse donc particulièrement aux hommes politiques, aux parlementaires, aux mouvements, aux éducateurs, aux ONG, et aux centres de formation.
Face aux foisonnements des tendances en bioéthique, et la teinte utilitariste et a-normative de la bioéthique anglo-saxonne, l’Église rappelle la nécessité d’une base philosophique et anthropologique sérieuse pour de tels débats. Une partie des impasses actuelles dans le domaine de la bioéthique vient en effet de ce que l’on a souvent abandonné les normes universelles du jugement éthique au profit de décisions pragmatiques, prises au nom de biens partiels, et fortement teintés de subjectivisme. Une partie importante du lexique concerne la famille (couple, homosexualité, théorie du genre) mais aussi la vie humaine, et les menaces qui pèsent sur elle aujourd’hui, en particulier dans ses débuts et lors de son déclin (avortement, interruption médicale de grossesse, procréation médicalement assistée).
Ce Lexique est un retour aux sources de la raison éclairée par la Foi, un outil pour articuler la Révélation sur la réflexion philosophique. Il ne s'adresse donc pas uniquement aux catholiques mais à tous les hommes de bonne volonté qui refusent le 'prêt à penser' et souhaitent trouver des réponses aux questions qu'ils osent encore poser..."
* " Lexique des termes ambigus et controversés sur la famille, la vie et les questions éthiques " 1008 pp, éditions Téqui, juin 2005.
Présentation de l'éditeur :
"Homme, femme, quelles différences ? Qu'entend-on par 'Gender' ? L'homosexualité est-elle une variante de la sexualité humaine ? Comment envisager la 'santé reproductive' des femmes ? En quoi le mariage est-il fondamentalement différent de la vie maritale ? Jusqu'où un médecin peut-il orienter ses patients dans leurs choix ? Afin de ne pas nous laisser surprendre par ces questions, de plus en plus complexes, plus de 70 spécialistes - psychologues, théologiens, juristes, philosophes et scientifiques - ont œuvre, sous la direction du Conseil Pontifical pour la Famille et de son Président le Cardinal A. Lopez Trujillo, à la publication d'un outil de référence : le Lexique sur la vie et la famille. Parmi eux citons (ordre alphabétique) Mgr T. Anatrella, Mgr J-L. Bruguès, Mgr C. Caffarra, Mgr G. Cottier, G.-F. Dumont, M-T. Hermange, X. Lacroix, J-D. Lecaillon, J-M. Le Méné, Mgr E. Marcus, J-M. Meyer, Mgr J-P. Ricard, Mgr J Suaudeau, P. de Viguerie, Mgr A. Vingt-Trois... Donner des repères éthiques, éclairer les psychologies, situer le contexte juridique ou social, dévoiler la manipulation du langage, comprendre les positions de l'Eglise, telle est la valeur inestimable de cet ouvrage qui va au-delà des définitions et des mots. Chacun pourra ainsi soutenir une culture de vie, dans la sphère familiale, sociale et politique qui est la sienne."
Source : Gènéthique.
Chaque article présenté dans Gènéthique est une synthèse des articles parus dans la presse et dont les sources sont indiquées dans l'encadré noir. Les opinions exprimées ne sont pas toujours cautionnées par la rédaction.
- Zenit 01/06/05 - Le Monde (Henri Tincq) 02/06/05 - Le Figaro (Sophie de Ravinel) 02/06/05 - La Croix (Nicolas Senèze) 02/06/05 - Famille Chrétienne 04-10/06/05
Transplantation web sites in the US
==> United Network for Organ Sharing (UNOS):
organ donation and transplantation.
==> TransWeb.org: all about transplantation and donation.
==> CenterSpan: your comprehensive source of transplant information.
==> American Society of Transplantation (AST)
==> NATCO: the Organization for Transplant Professionals. NATCO is the organization for transplant and procurement clinicians worldwide.
organ donation and transplantation.
==> TransWeb.org: all about transplantation and donation.
==> CenterSpan: your comprehensive source of transplant information.
==> American Society of Transplantation (AST)
==> NATCO: the Organization for Transplant Professionals. NATCO is the organization for transplant and procurement clinicians worldwide.
Don d'organes - L'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal se démarque en Amérique du Nord
Invitation aux médias :
Depuis plus d'un an, l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal ne cesse de recevoir des honneurs, non seulement au Québec mais également aux Etats-Unis, relativement à son excellente performance et à son approche particulière auprès des donneurs potentiels
d'organes.
L'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal et Québec-Transplant vous invitent à une conférence de presse pour souligner les progrès réalisés:
Quand: Le jeudi 7 juillet 2005,
à 10 h
Où: à l'auditorium Emilie-Gamelin
5400 boul. Gouin Ouest
Montréal
Que pensent les Québécois du don d'organes? Quelle est l'approche
particulière de l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal? Qui peut faire don de
ses organes? A qui profite le don d'organes?
Lors de cette conférence de presse, des médecins, infirmières, un greffé
du coeur, un aumônier et un représentant de Québec-Transplant prendront la
parole.
Nous vous invitons à confirmer votre présence auprès de madame Christine
Daniel, coordonnatrice des communications, au (514) 338-2222 poste 3248 ou par
courriel: christine.daniel.hsc@ssss.gouv.qc.ca .
Renseignements: Christine Daniel, Coordonnatrice des communications,
(514) 338-2222 poste 3248, christine.daniel.hsc@ssss.gouv.qc.ca
Source :
CNW Telbec
Depuis plus d'un an, l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal ne cesse de recevoir des honneurs, non seulement au Québec mais également aux Etats-Unis, relativement à son excellente performance et à son approche particulière auprès des donneurs potentiels
d'organes.
L'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal et Québec-Transplant vous invitent à une conférence de presse pour souligner les progrès réalisés:
Quand: Le jeudi 7 juillet 2005,
à 10 h
Où: à l'auditorium Emilie-Gamelin
5400 boul. Gouin Ouest
Montréal
Que pensent les Québécois du don d'organes? Quelle est l'approche
particulière de l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal? Qui peut faire don de
ses organes? A qui profite le don d'organes?
Lors de cette conférence de presse, des médecins, infirmières, un greffé
du coeur, un aumônier et un représentant de Québec-Transplant prendront la
parole.
Nous vous invitons à confirmer votre présence auprès de madame Christine
Daniel, coordonnatrice des communications, au (514) 338-2222 poste 3248 ou par
courriel: christine.daniel.hsc@ssss.gouv.qc.ca .
Renseignements: Christine Daniel, Coordonnatrice des communications,
(514) 338-2222 poste 3248, christine.daniel.hsc@ssss.gouv.qc.ca
Source :
CNW Telbec
Mordre dans la vie grâce à une greffe de rein au Quebec
"C'est à 17 ans, qu'Annie Desgagnés, une jeune femme pleine de vie et d'enthousiasme, voit sa vie basculer. On lui apprend qu'une maladie détruit progressivement ses reins et que d'ici quelques années, seule la dialyse ou la greffe pourra lui permettre de survivre. C'est un choc. La jeune femme a la tête pleine de projets et ne veut pas y croire. Grâce à des efforts considérables, elle parvient jusqu'à l'âge de 28 ans à retarder l'inévitable : être placée sur la liste d'attente pour une greffe.
Annie fait partie des 7000 Québécois qui ont perdu l'usage de leurs reins. "Au Québec, au 31 décembre 2004, on comptait près de 900 personnes sur la liste d'attente pour une transplantation d'organe, 75% d'entre elles attendaient un rein", indique le Dr Michel R. Pâquet, néphrologue et président du Comité provincial de don d'organes de la Fondation canadienne du rein. "En moyenne, les personnes qui attendent une greffe rénale doivent patienter deux ans avant d'obtenir un rein", ajoute-t-il.
"Cela a été terrible pour moi de savoir que j'étais sur la liste d'attente. La réalité devenait tout à coup implacable et je me suis aperçue que je n'acceptais pas encore ma maladie, même après toutes ces années", explique Annie avec émotion. "En janvier 2002, le téléphone a sonné. On m'a annoncé qu'un rein m'attendait et que je devais me rendre de toute urgence à l'hôpital. Là ma vie a pris un tout autre virage", raconte-t-elle.
La greffe est un succès, et Annie apprend à apprécier sa nouvelle vie avec un rein qui fonctionne. "Grâce à la greffe, je peux poursuivre mes rêves les plus chers, les réaliser et surtout voir la vie avec de nouveaux yeux. Très souvent, je caresse de la main l'endroit où est mon nouveau rein et je dis merci, c'est un peu ma façon de lui parler, de dire merci à la vie. J'ai la tête pleine de projets. Ma vie est riche et je peux la poursuivre grâce au cadeau inestimable que m'a fait quelqu'un qui avait pris le temps de dire à sa famille qu'il voulait donner ses organes à son décès", conclut celle qui a repris, depuis trois ans, son rythme à elle, celui d'une véritable dynamo.
En 2004, le Québec affichait le meilleur taux de don d'organes au pays, soit 18 donneurs décédés par million d'habitants, comparativement à un taux moyen pour le Canada de 13,1. "On est encore loin toutefois des taux observés dans plusieurs pays occidentaux. L'Espagne, par exemple, occupe la tête du classement mondial, avec un taux de 34,6 donneurs par million de population en 2004. Il est donc possible de faire mieux, et avec de la sensibilisation, nous pourrons diminuer le temps d'attente pour les greffes", constate le Dr Pâquet.
La Fondation canadienne du rein encourage la population à décider de faire don de ses organes à son décès. Au Québec, pour devenir donneur d'organes, il faut signer l'autocollant de consentement et l'apposer à l'endos de la carte d'assurance-maladie. Plus important encore, il faut en parler à ses proches, car ce sont eux qui verront à ce que les volontés de la personne soient respectées. On peut se procurer gratuitement l'autocollant et de l'information sur le don d'organes en communiquant avec la Fondation canadienne du rein, succursale du Québec, au 1-800-565-4515 ou en visitant le site www.reinquebec.ca."
Source : Le Reflet - Édition du 2 juillet 2005
Sites internet sur les transplantations d'organes : à visiter !!
Pour voir le site convivial parrainné par Novartis, cliquer ici.
Pour voir le répertoire des associations concernant les transplantations (donneur vivant et donneur en état de mort encéphalique), cliquer ici.
Source : Transplantation.net
Pour voir le répertoire des associations concernant les transplantations (donneur vivant et donneur en état de mort encéphalique), cliquer ici.
Source : Transplantation.net
Chine : la plus grande banque de cellules souches au monde
"Avec plus de 40 000 éprouvettes de cellules souches adultes, le laboratoire de Tianjin est la plus grande banque de cellules souches au monde. Ce sont des parents, voulant garantir "une sorte d'assurance vie" à leur enfant qui confient à la banque, moyennant finances, le placenta et le cordon ombilical de leur nouveau-né. Ces cellules souches, utilisées, par exemple, dans un pied malade, reconstituraient en moins de 20 jours de nouveaux vaisseaux, et le patient peut remarcher normalement.
Le professeur Han Zhong Chao, directeur de ce programme de recherche, affirme avoir traité plus de 500 malades en un an de cette manière, avec un taux de succès de 95%.
Il s'enthousiasme pour ce nouveau concept : la médecine régénératrice : "A terme on devrait pouvoir reconstituer des foies, des coeurs, des reins, et pourquoi pas des cerveaux !"
Grâce à l'argent généré par cette banque d'un nouveau type, le professeur Han Zhong Chao finance ses recherches et construit un hôpital de 200 lits spécialisé dans le transfert cellulaire, qui lui permettra d'appliquer le résultat de ses recherches.
Le professeur a aussi créé un centre national des produits cellulaires Am Cell Gene, pour commercialiser les produits issus de ses recherches.
Les scientifiques internationaux s'intéressent de près aux recherches de ce centre, mais s'inquiètent quand même de la rapidité des applications cliniques de ces travaux."
Revue de presse de GènEthique du 01/07/05
Chaque article présenté dans Gènéthique est une synthèse des articles parus dans la presse. Les opinions exprimées ne sont pas toujours cautionnées par la rédaction.
Source : Le Point 01/07/05
Grèce - L'Eglise orthodoxe fait dons de ses organes
"L'Eglise orthodoxe de Grèce a declaré vendredi faire don de leurs organes à la suite de la mort récente d'un petit garçon du pays en attente de greffe du coeur. En outre, l'Eglise lancera "une campagne nationale de promotion du don d'organes" par l'intermédiaire des formulaires d'inscription du ministère de la Santé, qu'elle distribuera à ses fidèles, a annoncé Monseigneur Dorothéos, un des membres de l'Eglise qui est non-séparée de l'Etat.
La Grèce ne compte malheureusement pas beaucoup de donneurs, c'est pourquoi le ministère de la Santé à lancé à plusieurs reprises des campagnes depuis plusieurs années et continue de plus belle aujourd'hui en incluant des formulaires d'inscription dans les journaux. Les médias ont également redoublé d'efforts au moyen de nombreux reportages sur le problème des dons d'organes [...]."
Source : E-actualités
New drug helps fights heart transplant rejection
"A new drug, known as daclizumab, has proven effective at reducing organ rejection among heart transplant patients.
About 2,100 heart transplants are performed every year in the United States. During these operations, a donor heart is transplanted into a patient whose own heart is unable to operate effectively.
One major risk of the operation is organ rejection, in which the patient's immune system recognizes the transplanted organ as foreign tissue and attacks it. This risk is especially acute during the first year. The death rate among heart transplant patients the first year after transplantation is 15 percent, according to a release describing the study. Most of these deaths are caused by organ rejection.
To prevent rejection, heart transplant patients are typically administered a combination of drugs that suppress the immune response without exposing the patient to increased risk of infection. The standard anti-rejection therapy includes cyclosporine and corticosteroids.
The research team compared rejection rates among heart transplant patients who had been given the standard anti-rejection therapy versus patients who were given the standard therapy in addition to daclizumab. They found that rejection among the daclizumab group was 25 percent lower.
Among the patients who did reject, the research team found that it took much longer for those on daclizumab to reach a clinical "end point," which was defined as rejection, heart dysfunction or death.
The study was published in the June 30 issue of the New England Journal of Medicine."
Source: HeartCenterOnline.
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