"Un chirurgien, qui avait fait don de l'un de ses reins à l'infirmière qu'il aimait, le lui réclame aujourd'hui, parce qu'elle l'a trompé et abandonné.
Une palpitante affaire d'organes excite la presse new-yorkaise en ce début d'année. Un chirurgien, qui avait fait don de l'un de ses reins à l'infirmière qu'il aimait, le lui réclame aujourd'hui, parce qu'elle l'a trompé et abandonné. En résumé, pour prix de son cœur qui saigne, le médecin veut son rein sain. Le praticien s'appelle Richard Batista, il a 49 ans, et une petite moustache. D'abord, en 2001, il fait don de son rein à Dawnell, une blonde pulpeuse, qui lui a ensuite donné trois enfants, âgés de 8 à 14 ans."
"Puis Dawnell, après une leçon de karaté, s'est blessée au genou, et elle a commencé à avoir des relations sexuelles avec le kinésithérapeute qui la massait. 'Elle s'est engagée dans une relation extra-maritale et a refusé d'aller consulter un conseiller conjugal', se lamente le Dr Batista, qui explique : 'Elle m'a jeté les papiers de divorce à la figure dans la salle d'opération alors que je tentais de sauver la vie d'un autre patient.' Le Dr Batista affirme que Dawnell n'a pas de cœur : 'Il n'y a pas de chagrin plus profond que la trahison d'un être aimé, auquel vous avez consacré votre vie, en lui sauvant l'existence aussi', dit-il. L'échange d'organes, en cas de divorce, va-t-il transformer les tribunaux américains en boucherie, en vulgaires tribunaux islamiques iraniens ? C'est peu probable. Car la valeur d'un rein n'est pas estimée au même prix à New York et à Téhéran.
En Iran, le seul pays où l'on puisse librement vendre ses reins, la valeur de cet organe ne dépasse pas 3 500 dollars. Or le Dr Batista, lui, est prêt à laisser son rein à son ex-femme aussi longtemps qu'elle en aura l'usage moyennant un dédommagement de 1,5 million de dollars. Il ajoute qu'il aimerait également pouvoir revoir ses trois enfants, que Dawnell lui a aussi confisqués. Encore un mariage qui a fait souffrir."
Source :
http://www.lefigaro.fr
Merci de ne PAS poster de messages concernant la vente d'un organe et comportant des coordonnées téléphoniques, e-mail, etc. La loi française interdit la vente d'organes.
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