"En attendant de pouvoir recréer un rein par ingénierie tissulaire, reste le recours à la greffe à partir d’un donneur. Mais les rejets 'chroniques' restent nombreux et peu prévisibles. Le docteur Béatrice Charreau (Nantes) s’attache à trouver un meilleur test de compatibilité qui utilise des marqueurs des cellules de la paroi vasculaire rénale. Il serait ainsi possible de suivre l’état d’acceptation du greffon chez le malade et d’agir à temps pour éviter le rejet tardif."
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