"Le don d’organes sauve des vies. Que vous y soyez favorable ou non, c’est le moment d’ouvrir la discussion avec vos proches.
Près de 14.000 patients ont eu besoin d’une greffe en France l’an dernier. Mais la pénurie est telle qu’un malade décède tous les deux jours, faute d’avoir été transplanté à temps. Pourtant, potentiellement du moins, le nombre d’organes à prélever est suffisant pour répondre aux besoins. Le don d’organes repose en effet sur le principe du consentement présumé depuis la loi Caillavet de 1976. Chacun est donc considéré comme donneur à moins de s’y être opposé soit en s’inscrivant sur le Registre national des refus, soit en témoignant de son opposition à ses proches. Il n’empêche, en cas de décès brutal, l’hôpital contacte systématiquement l’entourage de la victime avant d’envisager tout prélèvement. Mais bien souvent, les familles refusent, de crainte d’aller contre la volonté du défunt. La carte de donneur (*) peut alors constituer une trace de votre accord, mais n’a aucune valeur légale. Il est donc primordial d’avoir spécifié son choix à ses proches."
(*) Renseignements et délivrance gratuite auprès de l’Agence de biomédecine (0.800.20.22.24 ou www.dondorganes.fr), la Fédération France ADOT (05.45.39.84.50 ou www.france-adot.org), la Fondation greffe de vie (01.45.78.50.80 ou www.greffedevie.fr).
Source :
http://www.francesoir.fr
Merci de ne PAS poster de messages concernant la vente d'un organe et comportant des coordonnées téléphoniques, e-mail, etc. La loi française interdit la vente d'organes.
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