"M. Henri Augusty, d'Estagel, rend hommage. Tel était, dernièrement, sur France 3, le thème de l'émission. "La vie ne vaut rien... mais rien ne vaut la vie" chante Alain Souchon. La santé, la vie, si précieuses, si fragiles. C'était d'abord les recommandations et sauvegardes, la présentation de ces gestes simples qui peuvent nous épargner de sérieux revers. Puis l'évocation des secouristes, des soignants de tous bords qui interviennent, infirmières, médecins, des chirurgiens de l'impossible qui font des prodiges avec ces greffes d'organes. Le témoignage d'une mère qui a donné un rein pour son fils. Des moments poignants avec ce reportage sur ce garçon de 28 ans en attente de greffe. Après l'opération réussie de la greffe de deux poumons, il ne tousse plus, lui qui n'arrêtait
pas de tousser. Comme un miracle ! Sachant qu'il n'est pas de chirurgie lourde sans besoin de produits sanguins... Oubliés ? Frustrés ? Ils ne s'offusqueront pas ces milliers de bénévoles qui font, chaque jour, "le geste qui sauve" pour approvisionner les centres de transfusion sanguine en sang, plasma ou plaquettes. Ils restent le maillon irremplaçable pour que continue la vie. (...) Aujourd'hui, nécessité faisant loi, les dons passent de 3 à 4 pour les femmes et de 5 à 6 pour les hommes sur 12 mois. L'âge limite est porté à 70 ans. Mesures palliatives qui soulignent à la fois l'accroissement des besoins et la déplorable indifférence d'un fort pourcentage de la population active."
Source :
http://www.midilibre.com
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